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En Bretagne, les chiffres du suicide adolescent sont alarmants, dépassant la moyenne nationale. Un article poignant de Ouest-France met en lumière cette réalité et les efforts déployés pour y faire face.

Un témoignage bouleversant : Une professeure bretonne raconte l’impact dévastateur du suicide d’un élève de 17 ans sur sa classe. Entre choc, culpabilité et gestion de l’information, elle partage son expérience avec courage.

Des chiffres préoccupants :

• 14 % des collégiens et 15 % des lycéens présentent un risque élevé de dépression (Santé publique France, 2022).
• 24 % des lycéens déclarent avoir eu des pensées suicidaires au cours des 12 derniers mois.
• 13 % ont déjà tenté de se suicider, dont 3 % avec hospitalisation.

Un plan d’action académique :
L’académie de Rennes a fait de la santé mentale une priorité avec :

• La formation de 600 professionnels (infirmiers, psychologues, assistants sociaux).
• La sensibilisation des enseignants pour devenir des « sentinelles » capables de repérer les signes avant-coureurs.
• L’intégration de compétences psychosociales dans les cours pour renforcer la résilience des élèves.

Au niveau national :

• Formation au secourisme en santé mentale dans chaque établissement.
• Inscription du numéro vert prévention suicide (3114) dans les carnets scolaires.
• Élaboration de protocoles spécifiques pour gérer les crises suicidaires.

Le défi : protéger nos jeunes
Alors que la santé mentale est la grande cause nationale en 2025, il est urgent d’agir collectivement pour soutenir les adolescents en détresse. Chaque adulte peut être un acteur de résilience.

📞 Besoin d’aide ? Le numéro national de prévention du suicide (3114) est disponible 24h/24, 7j/7. Gratuit et confidentiel.

📰 Découvrez l’article complet sur Ouest-France et leur série dédiée à la santé mentale des adolescents : témoignages, pressions scolaires, impact des réseaux sociaux… Un sujet essentiel à ne pas ignorer.

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